Un enjeu à suivre de près : la finance verte !

Alors que les questions climatiques éveillent notre conscience sceptique ou endormie, certains établissements financiers ont vu dans la finance dite verte un argument marketing. Ce type de démarche, aussi appelée greenwashing n’est plus acceptable. La Banque française BNP Paribas en a fait les frais récemment en étant mise en demeure par des ONG pour son appui au développement des énergies fossiles.

Depuis quelques années, la prise en compte des facteurs climatiques et globalement environnementaux est néanmoins bien réelle dans le secteur financier. Les banques sont en capacité d’apporter leur contribution à notre transformation collective.

Le secteur financier se doit d’accompagner et d’accélérer notre transition vers un monde durable en reconnaissant les opportunités liées à la transition énergétique. Il doit intégrer immédiatement les politiques climatiques en identifiant plus précisément les projets obsolètes.

Il y a un an, à peine 25 % des banques européennes analysaient les risques climatiques. Désormais, 85 % des banques ont une approche au moins basique des risques climatiques et environnementaux.

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